Fonction : Professeur des arts plastiques

Interview

A quoi t’a fait penser le thème du concours « Mes voisins, mes amis » ?

Le thème « mes voisin mes amis, me fait penser vraiment à nos souvenirs d’enfance ou sans distinction sans rancœur, on jouait ensemble ! On riait ensemble ! On partageait nos bonbons on avait aucun problème avec la vie ! Et notre joie de vivre se trouvait autour de nous, et dans un simple objet sans valeur.

Où as-tu connu la photographie ?

J’ai connu la photographie  avec un ami qui travaillait pour un photographe !  Au près d’un maquis que je gérais les soirs de mon retour au lycée d’enseignement artistique L.E.A INSAAC. Qui ma montrer vraiment que on pouvait se faire de l’argent dans la photo si on travaillait a son propre compte et là j’ai pris ma bourse du L.E.A pour ouvrir mon propre salon photo. Ensuite je suis rentré aux beaux-arts et j’ai eu une autre dimension de la photographie, et ma passion de faire les images à commencer. J’ai compris qu’une photo est  une œuvre d’art tout comme la peinture et autre. De là j’ai donc opté pour un master 2 photographie aux beaux-arts ou la photographie était vraiment délaissée.

Quel message veux-tu transmettre à travers tes photographies ?

Au fond, la présente collection photographique nous plonge en définitive, au cœur des jeux des enfants. Tout se passe comme si le bonheur, l’égalité des chances et la joie de vivre tant recherchés constituent un idéal, un projet utopique, dans le sens étymologique du substantif, c’est-à-dire un état possible, une situation non encore réalisée pour laquelle l’on doit se battre. Et parce que l’égalité et la joie de vivre doivent être les choses au monde les mieux partagées, cette collection démontre avec toute la puissance  de la photographie, que du néant, et d’un simple objet sans valeur, peut et doit naître un bonheur recyclé et une joie de vivre inespérée.